On le sait tous, on aime les jeux vidéos - enfin la plupart - avec une trame surnaturel, avec des monstres aux noms et aux apparences loufoques - genre l'Octorok dans Zelda ou les Goombas de Mario ... Children of Mana fait partie de ces jeux-là, des jeux fantastiques, et rien que le nom - Mana ne vous tilte pas comme étant cette énergie magique ? - dit long sur son statut. Descendant d'un jeu appelé Sword of Mana sur GBA que j'ai jamais compris totalement l'histoire et que j'ai fini par abandonner - et peut-être reprendre plus tard -, celui-ci rattrape son prédécesseur.
Normalement, la boîte française ressemble à ça. Y a une autre adaptation pour un autre pays, je l'ai oublié.~ ( et oui je sais on voit le nom du site à qui appartient l'image. ) Donc, j'ai oublié la date de sortie, ça arrive à tout le monde wesh, si ça te plaît pas fout toi le doigt dans le c... Enfin bref. Je l'ai eu à un Noël, et faut dire qu'en voyant la jaquette qui est vachement attirante - pour ma part -, j'ai craqué et voulu le tester tout de suite. Même si pour une joueuse je suis aussi naze que votre souris face à une mouche. Et oui je sais aussi que la comparaison est merdique.
Donc bon, y a un PEGI 12+ sur la boîte, les français doivent vraiment s'inquiéter pour la nouvelle génération ... Ne vous en faites pas, rien de pervers, rien de méchant, c'est juste de la baston. Que j'expliquerai le système après la synopsis.
On a le choix entre 4 héros ; le héros Ferrik, d'un style standard, bien fait, super beau - enfin à vous de voir, je le prend pour un gay perso -, la héroïne Tamber, qui ressemble à une loli un peu pute mais bon j'y peux rien c'est pas moi qui a fait le jeu, ainsi que d'un gamin Poppen qui a l'air de sortir d'un pays musulman et d'un lapin qui se fait appeler Voyageur. Non, ce n'est pas Pedobear, je vous rassure.
On commence dans un village surpeuplé qui a seulement 2 bâtiments - enfin 3, mais le 3e est "maudit" - dans lequel on doit aller parler à Tess, votre amie ainsi que prêtresse pour la fameuse déesse Mana qui veille sur les terres de notre monde. Cependant, alors qu'elle s'en fût aller prier à la tour, une horreur arriva : la pierre du village représentant l'arbre Mana se fissure. Au même moment, on vous apprend que Tess est en danger et vous devez accourir pour la sauver, en compagnie d'un esprit et en utilisant des gemmes aux dons pouvant vous rendre plus puissant.
Bon, j'imagine que y a bon nombre qui a dû lâcher en cours de lecture, j'en doute pas, et moi aussi j'aurai cessé. Car Children of Mana a un début assez rapide des faits, c'est pas toujours facile de comprendre comment utiliser ceci, comment faire avec cela. Mais en suivant bien et en se pressant pas, tout est plus facile.
L'aventure se déroule principalement dans des donjons placés un peu partout dans le monde, avec le village pour lieu de ravitaillement en équipement, gemmes, objets de récupération, etc. A noter que les équipements sont différent pour chaque personnage : par exemple, Tamber et Poppen porteront une toge tandis que Ferrik et Voyageur une armure.
Dans les donjons, on se déplace sur des tableaux, le moyen pour aller au tableau supérieur étant de remplir la condition pour pouvoir y accéder avec le Gleamwell - une zone de téléportation - et le Gleamdrop - l'objet que vous devez porter pour aller sur le Gleamwell. Bien sûr, on affronte des ennemis, gagne en expérience, etc.
Qu'est-ce que j'ai oublié ... Ah, oui. Les graphismes et les artworks sont plutôt bien, ça aurait pu être mieux, mais il n'empêche que l'on distingue bien où on peut aller et comment si on sait se servir des nombreuses armes du héros. Aucune erreur de traduction - je le dis car souvent j'en retrouve parfois , sérieusement -, et les musiques collent plutôt bien à l'ambiance du jeu, bien que j'ai parfois l'impression que ça fasse pas aussi "médiéval" que le jeu.
Jeu qui se trouve être assez long, avec une difficulté assez chiante : faut être assez patient pour les donjons très avancés et très longs non pas pour les étages mais pour la manière d'y accéder à toutes, les ennemis ne cessent de t'envahir et tu te dis même parfois que jouer à plusieurs est bien mieux : ce qui est possible fort heureusement.
- Si vous pensez ne jamais jouer le jeu et que vous voulez savoir mon commentaire sur la fin:
Malheureusement la fin m'a plutôt déçue, l'avant dernier boss étant très difficile même en jouant en duo avec mon cousin, je m'attendais à un véritable challenge contre l'ennemi final ... Mais après l'avoir vaincu avec brio, rapidité et en solitaire j'étais autant déçue que contente d'en être arrivée à bout.
Pour conclure que même si Children of Mana est un jeu difficile, qui occupe de nombreuses heures à nous faire taper principalement que du mob, l'histoire reste tout de même intéressante, et y jouer n'est pas de tout refus quand on a du temps à perdre.
Accueil 
Sujet: Children of Mana (DS) 
Ven 5 Oct - 18:02
